The Wonderful Monty Retour au sommaire En effet, si dans le fond les bases de la progression sont assez simples / convenues car plutôt proches de celles d'un beat'em all moderne (on avance sur un chemin globalement linéaire en tailladant des ennemis lambda, des sous-boss et des boss dans des arènes fermées), The Wonderful 101 recèle en pratique de nombreuses subtilités savoureuses . Citons à nouveau les Unimorphisations, nombreuses et évolutives, qui sont le sel de l'épopée : on peut les renforcer au fil du temps, étoffer leur panel de coups ou même les combiner à la manière d'un Devil May Cry - jusqu'à 4 à la suite - pour accroître les dégâts et améliorer son score. Elles ont également divers usages comme créer des passerelles, ouvrir des mécanismes, grimper sur les murs, voler, atteindre des éléments inaccessibles, etc. Évoquons aussi l'indispensable gestion des alliés - héros attitrés ou simples citoyens enrôlés temporairement -, largement inspirée...