Antero Henrique, le directeur sportif du PSG, est revenu du Qatar conforté dans ses fonctions par son président, Nasser al-Khelaïfi. Il suffirait toutefois d'un mot de Doha pour renverser l'ordre établi alors que l'ombre de Leonardo plane sur la capitale.

Publié le jeudi 30 mai 2019 à 20:59 | Mis à jour le 30/05/2019 à 22:19

Antero Henrique, le directeur sportif du PSG, est revenu du Qatar conforté dans ses fonctions par son président, Nasser al-Khelaïfi. Il suffirait toutefois d'un mot de Doha pour renverser l'ordre établi alors que l'ombre de Leonardo plane sur la capitale.

Damien Degorre et Arnaud Hermant

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Antero Henrique est rentré de Doha, où il avait été convoqué dimanche soir, a priori conforté dans ses fonctions et rassuré sur les intentions de son président à son endroit. À l'heure où les spéculations sur le sort du directeur sportif portugais allaient bon train, lui-même ayant manifesté en privé des inquiétudes sur son avenir, le voile a en partie été levé sur l'organigramme du PSG. Henrique reste en place pour le moment.

À une partie de son entourage resté sans nouvelles depuis qu'il avait posé le pied dans la capitale qatarienne, lundi, il confia à son retour en France, avec une dose d'humour : « Je pense que je suis très confortable (sic). » Les menaces qui planaient au-dessus de sa tête comme une guillotine qui ne demande qu'à tomber auraient ainsi été dissipées après son entretien avec Nasser al-Khelaïfi. D'ailleurs, à Doha,...

Publié le jeudi 30 mai 2019 à 20:59 | Mis à jour le 30/05/2019 à 22:19

Damien Degorre et Arnaud Hermant

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Antero Henrique est rentré de Doha, où il avait été convoqué dimanche soir, a priori conforté dans ses fonctions et rassuré sur les intentions de son président à son endroit. À l'heure où les spéculations sur le sort du directeur sportif portugais allaient bon train, lui-même ayant manifesté en privé des inquiétudes sur son avenir, le voile a en partie été levé sur l'organigramme du PSG. Henrique reste en place pour le moment.

À une partie de son entourage resté sans nouvelles depuis qu'il avait posé le pied dans la capitale qatarienne, lundi, il confia à son retour en France, avec une dose d'humour : « Je pense que je suis très confortable (sic). » Les menaces qui planaient au-dessus de sa tête comme une guillotine qui ne demande qu'à tomber auraient ainsi été dissipées après son entretien avec Nasser al-Khelaïfi. D'ailleurs, à Doha,...